D’après les chiffres de la branche professionnelle de l’IEG (Industries Électriques et Gazières), le secteur du gaz compte 157 entreprises et près de 140 000 salariés. Les perspectives étant toujours au beau fixe, rien d’étonnant à ce que le nombre de recrutements augmente au fil des années.
Ce secteur d’activité est en perpétuelle recherche de nouveaux collaborateurs, les ingénieurs étant les plus convoités. Ceux-ci disposent d’une solide expertise et possèdent plusieurs casquettes (selon leurs spécialités). Vous souhaitez trouver des talents compétents pour des projets ponctuels ou plus longs ? Consultez tout simplement la plateforme Freelance-Engineering.
Vous êtes une entreprise du domaine du gaz et êtes à la recherche de talents pour des projets ou des missions spécifiques ? Sachez que la plateforme Freelance-Engineering regroupe près de 13807 ingénieurs freelances hautement qualifiés. Pour peu que vous parcouriez leurs profils, vous aurez davantage d’informations sur leurs spécialités, leurs compétences, leurs expériences, leurs formations ...
En quelques minutes seulement, vous trouverez les profils les mieux adaptés à vos besoins. Vous pourrez, par la suite, affiner vos recherches par fonction, expertise ou zone géographique.
Freelance-Engineering met en relation des clients (particuliers ou entreprises) avec des ingénieurs. Ces derniers s’inscrivent gratuitement sur la plateforme et remplissent leurs profils.
Vous recherchez un professionnel ayant suivi une formation dans une université en particulier ? Vous souhaitez rapidement comparer les compétences et les expériences de plusieurs experts ? Grâce à ses multiples possibilités, la plateforme est une valeur ajoutée et répond à toutes les préoccupations.
Les compétences de l’ingénieur gaz sont spécialisées et touchent un domaine sensible. Ainsi, des connaissances techniques spécifiques sont nécessaires pour la réalisation des missions (celles-ci varient selon le poste occupé).
Lorsqu’elles sont à la recherche de nouveaux collaborateurs, plusieurs entreprises organisent des campagnes de recrutement "classiques". Bien qu’elles permettent des rencontres physiques avec les candidats, ces dernières sont chronophages et font perdre du temps.
Les agences de recrutement se présentent comme une alternative intéressante. Toutefois, elles touchent des commissions élevées.
Il existe une autre solution : passer par une plateforme spécialisée telle que Freelance-Engineering.
Il n’est pas facile de rechercher et de trouver un ingénieur gaz compétent. Sachant cela, la plateforme spécialisée Freelance-Engineering met en relation des experts qualifiés avec de potentiels clients. Tous ses professionnels jouissent de plusieurs années d’expérience et disposent d’une solide expertise dans un domaine. Elle les sélectionne avec le plus grand soin et évalue régulièrement les missions qu’ils ont réalisées.
Pour trouver un ingénieur gaz, 2 solutions sont proposées :
Freelance-Engineering est une plateforme accessible, sécurisée et facile à utiliser. Les indépendants s’y inscrivent gratuitement et renseignent toutes les informations essentielles dans leurs profils. Ils peuvent également consulter les missions, projets et offres déposés par les clients et y postuler.
En ce qui concerne les entreprises, il existe plusieurs possibilités :
Des formules premium sont, bien évidemment, aussi disponibles. Vous aurez, par exemple, le choix entre l’accès à la liste de tous les experts de la plateforme, le portage salarial, le sourcing ...
Du fait des multiples opportunités offertes par le freelancing, un grand nombre d’ingénieurs s’y lancent. En effet, la crise sanitaire a favorisé le développement du télétravail.
Plusieurs personnes souhaitent désormais préserver leur vie de famille et travailler dans un cadre professionnel de qualité. Bien évidemment, elles prennent aussi en compte l’aspect financier. Selon les résultats de différents sondages et rapports, la rémunération d’un freelance serait 40 % supérieure à celle d’un salarié.
Bien que cela paraisse intéressant, "la situation n'est pas toujours rose". Les revenus d’un freelance fluctuent au fil des mois et ne sont pas garantis à 100 % (il est possible qu’il ne trouve aucune mission pendant une période).
Avant d’exercer en tant que freelance, étudiez minutieusement vos besoins.
Le freelance jouit d’une meilleure autonomie et de plus de liberté que le salarié. Mais il doit choisir son statut juridique avec attention, faute de quoi l’expérience pourrait tourner au cauchemar.
Il existe plusieurs possibilités :
Vous êtes un ingénieur gaz freelance et vous éprouvez des difficultés pour calculer votre taux journalier moyen ? Pensez en chiffre d’affaires annuel et non en rémunération mensuelle.
Si vous travaillez, par exemple, pendant 18 jours par mois en moyenne et estimez votre salaire à 3 000 euros nets, faites le calcul suivant :
3 000 (estimation de la rémunération mensuelle nette souhaitée) + 3 700 (charges sociales mensuelles) + 250 (charges diverses : assurance chômage, assurance responsabilité civile professionnelle, mutuelle, connexion internet ...) = 6 950.
Pour toucher 3 000 euros nets chaque mois, vous devrez donc facturer 6 950 euros à vos clients.
Votre TJM sera de : 6 950 / 18 = 386 euros (par jour).
Malgré la crise économique, le secteur de l’énergie affiche une bonne santé. Les énergies renouvelables demeurent un filon d’avenir et les recrutements sont en hausse du côté des industries gazières.
Mais selon des spécialistes, l’augmentation des demandes et la baisse des capacités de liquéfaction provoqueraient le resserrement du marché d’ici 2025. Les prix européens seraient exposés à une volatilité importante, et ce, à cause de la hausse de production des énergies renouvelables et des variations sur le secteur gazier.
Cette industrie est marquée par un grand nombre d’offres et d’acteurs. La production de gaz étant quasi-inexistante en France, elle a lié des relations avec 6 approvisionneurs (la Norvège, la Russie, les Pays-Bas, le Qatar, le Nigéria et l’Algérie). Le marché du gaz est ouvert à la concurrence et les ventes annuelles représentent environ 500 TWh (1/3 pour les foyers, 1/3 pour les industriels et 1/3 pour les secteurs de l’énergie et tertiaire).
Une fois le gaz en France, GRTgaz le transporte sur la majorité du territoire et TICF dans les régions du sud-ouest. Le réseau de transport de gaz s’étend sur une longueur de 37 550 km, dont 5 136 km pour Térega et 32 414 km pour GRTgaz. Le réseau de distribution de gaz naturel a, quant à lui, une longueur de 193 000 km. Même si seulement 9 550 communes y sont reliées, 80 % de la population de France y a accès. En ce qui concerne le stockage, il existe sous 2 types : en cavité saline et en nappe aquifère.
Depuis près de 200 ans, la filière gazière s’inscrit dans l’histoire de l’économie de France. Elle compte 130 000 emplois directs (commercialisation, stockage, transport et distribution) et indirects (installation, contrôle, maintenance et entretien des équipements et matériels).
Les emplois de l’industrie gazière peuvent être décomposés ainsi :
Le poste de responsable d’exploitation ou de chargé d’études est accessible aux titulaires d’un :
Le poste de chargé de travaux est ouvert aux Bac+3 ou Bac+2 (DUT énergie et génie thermique, BTS environnements, énergies et fluides, par exemple).
Travailler dans le gaz nécessite des compétences avancées, raison pour laquelle ce secteur est majoritairement constitué d’ingénieurs. Du fait de la rude concurrence qui existe dans ledit secteur, la pratique courante de l’anglais et la veille technologique sont obligatoires.
Cet ingénieur développe, exploite et entretient les réseaux de distribution ou de transport du gaz. Les possibilités sont nombreuses et dépendent de la spécialité choisie, de la taille de l’entreprise ...
L’ingénieur gaz s’assure du bon acheminement du gaz, du site de production jusqu’aux entreprises, usines et habitations. Il met en conformité les nouveaux équipements gaziers et veille au respect des normes d’entretien, de transport et de sécurité des canalisations. Il élabore de nouveaux dispositifs de maintenance et de sécurité, en tenant compte des innovations technologiques.
Selon sa spécialité, il possède plusieurs casquettes : il peut, par exemple, être ingénieur mouvement de gaz, ingénieur dans la recherche, ingénieur anticorrosion ... Il travaille en étroite collaboration avec l’ingénieur du génie civil.
Tout d’abord, il s’exprime couramment en anglais (il s’agit de la langue internationale d’échange et de travail). Bien évidemment, l’ouverture d’esprit est une qualité essentielle pour la réalisation de ses missions.
L’ingénieur gaz se tient toujours informé des dernières innovations de son secteur. Il est rigoureux, organisé et réactif, et jouit de solides compétences techniques. Il apprécie le travail en équipe, participe à des colloques et échange avec des collaborateurs. Il est doté d’un important esprit de synthèse et d’un cerveau vif. Il dispose d’une grande capacité d’adaptation et n’hésite pas à prendre des initiatives. En cas d’imprévu (une fuite ou une panne, par exemple), il décèle l’origine et trouve les solutions pour y remédier.
Le secteur du gaz "ne s'arrête jamais". Pour cela, ce professionnel travaille parfois le week-end et les jours fériés. Il s’adapte aussi aux conditions difficiles de son métier (en effet, les canalisations sont situées sous terre).
Un ingénieur gaz gagne environ 28 800 euros, en début de carrière. Le salaire d’un profil confirmé peut atteindre la barre des 65 000 euros. Un sénior ou un expert peut, selon sa spécialisation, toucher jusqu’à 100 000 euros.
Depuis plusieurs années, le domaine gazier fait partie des fleurons de l’industrie de France. Le nombre de recrutements repart à la hausse, malgré 2 années marquées par la crise sanitaire.
Bien qu’il existe plusieurs profils d’ingénieurs dans le secteur gazier, ils ont tous les mêmes missions : le développement, l’entretien et l’exploitation des réseaux de distribution ou de transport du gaz.
Cet expert exerce au sein de l’industrie et est un acteur à part entière du secteur de l’énergie. Spécialiste des chaudières industrielles, il participe à la conception et à l’amélioration d’équipements à la pointe de l’innovation technique. Il veille à ce qu’ils produisent davantage d’énergie, tout en ayant un faible impact sur l’environnement.
Il réalise des schémas, des calculs, des études et des plans de réchauffeurs d’air, de ventilateurs, de brûleurs ... Il a de bonnes connaissances sur les mesures des polluants, les phénomènes de combustion, la mécanique des fluides ... Il encadre des techniciens pendant les installations sur des sites industriels. Il fournit des conseils aux équipes commerciales lors de la rédaction de contrats ou de devis.
Ce technicien se charge de la préparation, de la coordination et du contrôle de la maintenance corrective ou préventive du réseau de gaz. Il réalise également des activités de construction, de renouvellement, d’exploitation ou de dépannage des équipements de distribution du gaz. Ainsi, il garantit la sécurité des biens et des personnes, et contribue à la qualité et à la continuité de l’alimentation des clients (professionnels et particuliers).
Le technicien effectue les raccordements collectifs ou individuels au réseau de distribution du gaz. Il change, répare ou pose des compteurs à gaz chez les clients. Il s’assure du bon fonctionnement des installations et identifie d’éventuelles fuites ou pannes.
Il est possible de travailler dans le domaine du gaz avec un Bac+2 (BTS, DUT ...) ou un Bac+3. Mais pour accéder à un poste d’ingénieur, un mastère spécialisé, un Master 2 ou un diplôme d’ingénieur est nécessaire.
Un ingénieur gaz débutant touche, en moyenne, 2400 euros nets par mois. Une fois qu’il a acquis suffisamment d’expérience, son salaire mensuel peut grimper jusqu’à 5500 euros nets.